上田学園
見上クラス 《 異文化コミュニケーション 》 授業報告 |
作家 | 欧名 | 生没年 | 代表作 | 欧題 | 著作年 |
プルースト | Valentin-Louis-Georges-Eugène-Marcel Proust | 1871年7月10日 - 1922年11月18日 |
失われた時を求めて | À la recherche du temps perdu |
1913-1927年 |
ヴァレリー | Ambroise-Paul-Toussaint-Jules Valéry | 1871年10月30日 - 1945年7月20日 |
海辺の墓地 | Le Cimetière marin | 1920年 |
サルトル | Jean-Paul Charles Aymard Sartre | 1905年6月21日 パリ、フランス - 1980年4月15日 パリ |
嘔吐 | La Nausée | 1938年 |
カミュ | Albert Camus | 1913年11月7日 アルジェリア - 1960年1月4日 |
異邦人 | L'Étranger | 1942年 |
FR(原文) | EN-1 | EN-2 | |
1 | Ce toit tranquille, où marchent des colombes, Entre les pins palpite, entre les tombes; Midi le juste y compose de feux La mer, la mer, toujours recommencee O récompense après une pensée Qu'un long regard sur le calme des dieux! |
This quiet roof, where dove-sails saunter by, Between the pines, the tombs, throbs visibly. Impartial noon patterns the sea in flame -- That sea forever starting and re-starting. When thought has had its hour, oh how rewarding Are the long vistas of celestial calm! |
This roof where dovelike sails go and come peacefully trembles near each pine and tomb; high noon appeases with a brilliant flame the sea, the sea, the sea renewed forever; what a prize here for the intellect's endeavor as gazing on a peace the gods proclaim! |
24 | Le vent se lève! . . . il faut tenter de vivre! L'air immense ouvre et referme mon livre, La vague en poudre ose jaillir des rocs! Envolez-vous, pages tout éblouies! Rompez, vagues! Rompez d'eaux rejouies Ce toit tranquille où picoraient des focs! |
The wind is rising! . . . We must try to live! The huge air opens and shuts my book: the wave Dares to explode out of the rocks in reeking Spray. Fly away, my sun-bewildered pages! Break, waves! Break up with your rejoicing surges This quiet roof where sails like doves were pecking. |
The wind stirs: live, leave all but life behind! My book is torn by that tremendous wind, the splaying wave dares leap the rock at last; vanish, bright pages, into the shining skies, break, waves, break, joyous fountains that uprise from this calm roof where sails came striding past! |
I | 1. Du côté de chez Swann. (1913) Première partie. |
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p.7-1 | Longtemps, je me suis couché de bonne heure. |
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p.7-2 | Parfois, à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n’avais pas le temps de me dire : « Je m’endors. » |
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p.7-3 | Et, une demi-heure après, la pensée qu’il était temps de chercher le sommeil m’éveillait ; je voulais poser le volume que je croyais avoir dans les mains et souffler ma lumière ; je n’avais pas cessé en dormant de faire des réflexions sur ce que je venais de lire, mais ces réflexions avaient pris un tour un peu particulier ; il me semblait que j’étais moi-même ce dont parlait l’ouvrage : une église, un quatuor, la rivalité de François Ier et de Charles-Quint. |
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p.7-4 | Cette croyance survivait pendant quelques secondes à mon
réveil ; elle ne choquait pas ma raison, mais pesait comme des écailles sur mes yeux et les empêchait de se rendre compte que le bougeoir n’était plus allumé. |
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p.7-5 | Puis elle commençait à me devenir inintelligible, comme après la métempsycose les pensées d’une existence antérieure ; le sujet du livre se détachait de moi, j’étais libre de m’y appliquer ou non ; aussitôt je recouvrais la vue et j’étais bien étonné de trouver autour de moi une obscurité, douce et reposante pour mes yeux, mais peut- |
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p.8 | être plus encore pour mon esprit, à qui elle apparaissait comme une chose sans cause, incompréhensible, comme une chose vraiment obscure. Je me demandais quelle heure il pouvait être ; j’entendais le sifflement des trains qui, plus ou moins éloigné, comme le chant d’un oiseau dans une forêt, relevant les distances, me décrivait l’étendue de la campagne déserte où le voyageur se hâte vers la station prochaine ; et le petit chemin qu’il suit va être gravé dans son souvenir par l’excitation qu’il doit à des lieux nouveaux, à des actes inaccoutumés, à la causerie récente et aux adieux sous la lampe étrangère qui le suivent encore dans le silence de la nuit, à la douceur prochaine du retour. |
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http://jydupuis.apinc.org/Proust/index.htm |
(p.27-4) ― Il faut prendre le dessus, disait Lucie. Ça la ronge, j'en suis sûr, mais lentement, patiemment : elle prend le dessus, elle n’est capable ni de se consoler ni de s'abandonner à son mal. Elle y pense un petit peu , un tout petit peu , de-ci de-là , elle l'écornifle . Surtout quand elle est avec gens, parce qu'ils la consololent et aussi parce que ça la soulage un peu d'en parler sur un ton posè, avec l'air de donner des conseils . Quand elle est seule dans les chambres , je l'entends qui fredonne, pour s'empêcher de penser . Mais elle est morose tout le jour , tout de suite lasse et boudeuse : ― C'est là , dit-elle en se touchant la gorge, ça ne passe pas . |
「彼はその点についてリシューに言わなければならない。」 ラウンジのあちこちを周った、しかしゆっくりと根気よく回って、彼女をつかまえるが、彼女は彼の悪癖を慰めることも捨てることもできない。彼女は、ほんのちょっと、ほんの少し、あちこちに集った。特に彼女は仲間と一緒にいた時彼を慰めることを貫いたそして「あなたの姿勢を弁護する」とアドバイスを与え、いかに彼の負担を軽くすることも貫いた。彼女が部屋にいた時だけ、私は口ずさんでいるのが聞こえ、思考の邪魔になった。だが彼女は毎日に不機嫌になるが、すぐに疲れて仏頂面になり喉もと過ぎれば・・・とやらと言われていた。 2007年3月9日 18時00分 |